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pschitlesneven

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27 mars 2009

En raison d'une interruption...

mire
En raison d'une interruption de la déconnade sur Lesneven et autour, nous ne sommes pas en mesure de diffuser nos programmes habituels. Veuillez nous en excuser.

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27 mars 2009

Des nouvelles de Bob!

Bon anniversaire Pschitt

Mon cher Pschitt, en ce jour anniversaire voici un petit message que tu peux publier sur ton blog:



Bon anniversaire Pschitt

Un an déjà que tu nous berces de tes pétillants écrits.

Je t'ai suivi quelques jours plus tard en créant moi aussi mon blog, déclenchant à peine trois mois après l'ire lesnevienne (non Pschitt, pas « la lyre » lesnevienne ! L'ire )

Je te souhaite donc un bon anniversaire, espérant que tu continueras à nous gratifier un an encore de tes commentaires joyeux et sarcastiques.

Quant à moi, pauvre délinquant que je suis, je préfère me taire. J'ai, d'une certaine façon, perdu ma liberté d'écrire.

Sois prudent mon Pschitt ! Mais ne t'inquiète je suis à tes cotés à la droite ou à la gauche du Père Tout Puissant.

Robert
Andouille out of lesneven

22 mars 2009

Bob is down!

Ce soir, Bob n'était pas à la cantine. Pourtant, il y avait du boudin, et Bob, habituellement, adore le boudin.
Ce type est un peu sanguin, j'ai toujours pensé! Mais de Bob, point.

Oui, bon, après la naissance de Jules, j'ai laissé ma mie se débrouiller avec sa progéniture. Retour au Paradis où on s'amuse bien plus, sauf qu'en ce moment, il faut faire avec la moue de Bob et non la mie de Pschitt! Vous suivez?

Hier soir déjà, il grommelait comme un conseiller municipal. Il a même filé un coup de pied au cul d'un ange qui s'est enfui à tire d'ailes, ne nous laissant que quelques plumes. Dont une dont se saisit le Bobby.

- Une plume dans le derrière, dans le derrière à...
- Arrête Bob. Tu te fais du mal. On est bien ici. Les matelas sont ouateux à souhait, on a open bar et on peut même y fumer un cigare sans se faire virer. Il y a un distributeur de capotes, comme quoi, Dieu est bien moins con que son représentant sur terre, même si concernant la gente féminine, je pense qu'il nous faudrait un stage infernal d'une semaine.
- Ouais, mais, bon, et zut. Plus rien à dire. M'énervent tous, m'énervent!
- C'est pas grave, mon Bobby, une petite déprime. Mais ça va revenir. Un jour, tu vas retrouver la première classe! Je comprends, là t'es comme le mauvais élève qui se fait taper sur les doigts. Mais t'as tué personne, il me semble.
- Ouais, p't'être.

Il a commandé un ange-taxi. Il a disparu dans une nuée.

Depuis, plus de nouvelles.

Faut-il déclencher le plan alarme enlèvement? C'est comme déclencher un accouchement, c'est pas toujours bon pour l'enfant...

20 mars 2009

Pin Pon Pin Pon!

Je sais que vous êtes nombreux à vous demander ce que fout Pschitt alors que nos pompiers campent sur leurs bases. Pourquoi je mets au pluriel, d'ailleurs? Ils n'ont qu'une base. Un champ de bataille à se partager!

Oui, que fait Pschitt? Il lange Jules, point barre!

Voui, Jules est né, et bien né. Il ressemble tragiquement à Pimprenelle, à tel point que je me demande si j'en suis le fortuné père. A en croire la chère et tendre mère, il aurait auissi un peu de Lionel Messi, l'Argentin qui a fait du mal à onze français, alors qu'au même moment, Pimprenelle mettait bas.

Je sais, cela ne se dit pas pour une femme, mais bon. Alors que Benoît the sixteen s'amuse de gonfler des ballons au Cameroun, pourquoi ne pas imaginer qu'enfin un elfe supérieur vienne remettre un peu de sérénité dans les ébats douloureux du conseil municipal lesnevien.

Je ne sais pas quel est le fou qui s'est permis de dire, dixit le blog de Lesneven Autrement (c'est pas moi qui dis, je ne veux pas être traduit en justice, enfin pas maintenant, alors que Jules n'a qu'une petite semaine de vie, imaginez, un père délinquant primaire) que le Maire de Lesneven est un menteur. Ouh la la! En voilà un qui va se retrouver sous les barreaux d'ici pas longtemps!

Mais bon, quand on voit les mensonges de notre Petit Nicolas, on ne s'étonne pas que ses vassaux fassent la même chose. Il faut bien se faire voir, montrer qu'on est digne de la bêtise du:
- Je serai le Président du pouvoir d'achat!
- Je serai le Président du plein emploi!

and so one!

Je sais, ce n'est pas l'heure des marronniers, d'ailleurs, cela éclaire la place le Flô d'une jolie manière! En fait, ça emmerde qui que notre Maire mente à la population qui l'a élu avec 44% des voix. Simplement 56% des gens qui ne pensent pas comme lui et dont il se fiche comme d'une guigne. Ah oui, c'est vrai, son mentor avait dit aussi, dans un excès de non lucidité:
- Je serai le Président de tous les Français!

A Lesneven, on préfère être le Maire de celui qui sait pas, mais qui saura bien un jour, si on lui donne tous les documents, mais comment, pas celui-ci, je n'ai pas encore lu, pas celui-là non plus, de quoi ça parle, ah, ça a l'air bien, ah ben non, on va pas mettre au courant les conseillers, des fois que... que quoi, qu'ils soient pas d'accord, mais on leur demande pas leurs avis d'abord, suffisait juste qu'ils soient sur la liste, pour faire le nombre, ah bon, certains, mais non, ils ferment la bouche, parce que je suis un garçon poli! et comment donc que la communauté dont je suis un vice-président m'aurait caché des choses, c'est vrai que je suis pas toujours là, et que j'ai un métier, moi monsieur, que j'ai pas le temps de tout lire tout ce qui est écrit dans les convocations, et que même, ben, ben, vous savez quoi, et ben, j'en ai rien à ....................................

Pendant ce temps, Jules réclame et comme Pimprenelle n'est pas équipée en lait qui va bien, je vous laisse, j'ai un biberon qui m'attend.

Pschitt (le roi de la succion tétinale!)

2 mars 2009

Encore un peu de dissertation!

Le maître d'école avait un regard furibard ce matin. Je ne sais pourquoi, j'imagine une nuit difficile, une femme qui ne se rend pas, qui s'enfonce sous la couette. Il tient en son bec, non pas un fromage, fini le temps des fables, mais un simple papier bleu, revêtu de l'onction municipale.

Il prend sa voix de fausset, celle qui lui donne l'impression de nous tenir par le bas du pantalon et fredonne à qui veut bien l'entendre:
- Aujourd'hui, nous allons étudier une œuvre! Qui, de vous, sait ce qu'est une œuvre?

Je jette un coup d'œil à Bob qui se cure le nez. Je sens, intuitivement qu'il s'en bat l'œil, justement. Il éternue bruyamment, car l'introduction de son index dans sa narine gauche a provoqué sur sa feuille de papier, ce que moi, pas vraiment au courant de tout ce qui fait l'œuvre, une magnifique crotte de nez verte et blanche, à la limite gluante.

- Hé, Pschitt, c'est ma première œuvre, et intellectuellement, tu ne peux pas penser qu'elle ne vient pas de mon cerveau, vu que, justement, jaillie de ma narine, elle débute ce processus de réhabilitation de l'inné sur l'acquis. Hein, qu'est-ce que t'en penses.

J'observais le glaviot qui n'avait rien d'attirant. Une forme molle et grégaire qui ressemblait à une virgule.

- C'est vrai Bob, on dirait que tu viens de réinventer le symbole de Nike, sauf qu'ils ont déposé le brevet il y a longtemps.
- Merdum ( Bob parle couramment latin quand il est contrit!)
- Pour ce coup, je ne pense pas que tu pourras t'ennorgueillir de la propriété intellectuelle de ce machin. Il va falloir trouver autre chose.

Il commence à bouder le Bob, puis, comme on dit puis dans les bons romans de gare, ou comminatoire dans les farces actuelles, il me sert cet oeil sombre qui n'appartient qu'à lui:
- Si le Kannadig est une oeuvre intellectuelle, si le site communal est une oeuvre intellectuelle, bref, si tout est intellectuel, sauf moi, je me pends à la plus haute vergue du Paradis.
- Bob, ici, il n'y a pas de vergues, seulement quelques verges pour se faire battre. Allez, calme-toi. Allons donc prendre un verre paradisaique que nous irons, à mâtines, exposer au Musée.
- Il est fermé.
- Il va bien réouvrir un jour, sois patient...

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1 mars 2009

Des nouvelles de Pimprenelle!

Bon, à la demande de nombre d'internautes, qui me lisent depuis longtemps et qui n'en ont rien à foutre de ma santé, ni de mes atermoiements, j'ai le plaisir de vous faire connaître que Pimprenelle est plus ronde qu'un ballon. D'ici 10 à 15 jours, Pschitt Junior va me pourrir la vie.

Bon, mais quel sexe me direz-vous? Je n'en sais rien du tout. Ce sera la pochette surprise. On a bien une idée pour le nom si c'est un garçon, si c'est une fille, mais nous sommes toujours dans une expectative à la con.

Aussi, amis internautes, donnez-nous de bonnes idées, des bons prénoms français. Perso, j'avais pensé à Ulrich
Marcel Prosper, c'était joli et ça sonnait bien dans l'air du temps. Pimprenelle préfère Philippe Stéphane. Le futur grand frère lui veut Olivier, on se demande pourquoi, c'est vrai que ces temps-ci, il manifeste pas mal son indépendance en levant le poing et en chantant l'Internationale. Va savoir, à 4 ans, cela n'émeut pas Pimprenelle...

Bon, je vous fais confiance, vous allez m'en trouver des prénoms qui changent de Jacques ou Nicolas, de Martine ou Ségolène...

Pschitt expectatif!

25 février 2009

En attendant Pierrot

Basilic, assis sur une pierre, essaie d'enlever sa chaussure. Il s'acharne comme un âne, aves ses deux sabots, en ahanant. Il s'arrête à bout de forces, se repose en hennissant, recommence. Même jeu.
Entre Igor.

Bon, je vous le fais simple, ce soir, Bob et moi, on joue une pièce de théâtre au Paradis. On a répété toute la semaine, on est vanné, mais c'est la première, on n'a pas le droit de se rater. Il y a le ban et l'arrière-ban, on a même cru voir la Vierge Marie, coincée derrière un poteau, la salle est pleine.

Basilic.- Rien à faire
Igor.- Rien à faire du tout.
Basilic.- On s'emmerde, mais quand même, certains l'aiment chaud!
Igor.- Oui, être ou ne pas être, il faudrait être futaie pour tout comprendre.
Basilic.- Tu crois pas qu'on cite un peu trop?
Igor.- Pour citer, on cite. J'ai même l'impression qu'on outrepasse la citation, on viole, on se prend à dire les  mots des autres.
Basilic.- Imagine que je m'appelle Estragon.
Igor.- Et pourquoi donc?
Basilic.- Pour rien, pour rien dire, rien piquer, pour ne pas violer de l'inaliénable...
Igor.- T'as un problème d'inaliénable.
Basilic.- Je crois, en plus de mon aliénation mentale, je prends plaisir à dire les mots, je me complais dans la caricature, dans le verbiage qui ne m'appartient pas, que je picore, de ci et de là.
Igor. - Tu connais notre commis, celui qui fait les courses.
Basilic.- Oui, lui, il paraît qu'il n'aime pas ça.
Igor.- Comment, Natoire n'aime pas ça, qu'aime-t-il d'ailleurs?
Basilic.- Je crois qu'il aime la gloire, mais la gloire ne le lui rend pas.
Igor.- En serait-il aigri? Fâché, énervé au point de...
Basilic.- Commettre l'irréparable?
Igor.- Je le crains.

Nous nous levons du banc, secouons nos gabardines. Alors apparaît dans le lointain une lune ronde et belle, brillante de ses mille feux du solstice.

Basilic.- Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.
Igor.- Arrête de citer, plus tu cites, plus tu bafoues le droit de l'inaliénable du propos.
Basilic.- Comment donc?
Igor.- Ben, c'est que tu dis des mots qu'un autre a dit avant toi, et qu'il a droit de dire que tu peux pas les dire.
Basilic.- Et si je dis casse-toi pauv' con.
Igor.- C'est pareil, y a des droits d'auteur. Tu ne peux pas transiger. Sinon, c'est illégal.
Basilic.- Ah!
Igor.- Tu joues avec ta liberté à dire les mots des autres. Il faut que tu changes de registre.
Basilic.- Ah!
Igor.- Ou alors, tu supprimes tous les ayant-droits. Comme ça, personne ne viendra te mettre des bâtons dans les roues.
Basilic.- Des bâtons dans les roues, tu ne serais pas en train de citer. Et s'il y avait des ayant-droits?
Igor.- S'il y a (en s'énervant) et bien s'il y a, je risque certainement la prison, au moins des coups de fouets.
Basilic.- Alors c'est grave?
Igor.- Qu'est-ce que j'en ai à foutre! Houps, je cite encore. Il faut que je fasse attention, je n'ai pas vérifié la date du copyright!
Basilic.- Alors, on ne peut plus rien dire.
Igor.- Tout dépend avec qui.
Basilic.- Et avec toi, je peux encore...
Igor.- Avec moi, tu peux tout dire Basilic. Regarde, même en ce beau pays de France, ils ont absous Siné, pas plus tard qu'hier.
Basilic.- Il y a encore une justice, Igor.
Igor.- Mais oui mon bon Basilic, allez, on y va
Basilic.- Allons-y

                                    

Ils ne bougent pas

Je ne vais pas citer tout le monde, j'ai pas pris le temps de demander toutes les autorisations. Je pense courir un grave danger. Demain, je serai en prison.
Adieu, de mes fers, j'aurai une pensée pour vous.
Pschitt (illegal alien!)

23 février 2009

La calculette messieurs!

C'est fou les mensonges qu'on peut lire sur le Net. Tenez, il suffit de lire le blog de Lesneven Autrement pour se rendre compte qu'il diffuse de drôles de vérités.

Ils nous font du Xavier Bertrand, celui qui connaît pas sa règle de trois.

Si on dit par exemple que 1/2, ça fait un demi (pression!)
on dit que 1 647 000/4 400 000, ça fait combien?

Allez, à vos calculettes à Lesneven Autrement, jeudi, y a budget, faudra être meilleur en pourcentage!
Pschitt calculateur!

15 février 2009

Tu parles d'un dimanche! citation M.Drucker

Pschitt a consacré son dimanche à consoler Bob. Le pauvre se demande comment il va être mangé et par qui. Je me le suis demandé avec lui. Nous avons devisé, entre deux crises de larmes chaudes, deux éternuements
consécutifs aux dites larmes. L'ectoplasme était fait et refait ( étant au Paradis, Bob n'est qu'ectoplasmique, même si parfois, l'évocation de Notre Dame lui fait gonfler le ballon!) et désespérait.

- Je ne voulais blesser, voilà qu'on me reproche
  D'avoir laissé mon âme balayer des pensées
  Que je pensais gentilles, et même insensés
  Sont ces griefs torts à qui mon cœur accroche!

Le Bobby, quand il se lance dans l'alexandrin, il lui faudrait picoler un peu plus que la faculté ne le recommande. Cependant (car il y a toujours un pendant!) il n'arrive pas à penser qu'il est victime d'une cabale à laquelle il ne comprend rien:

- A vaincre sans persil, on finit à la Poire
  Et à moult alcools on laisse trop de gloire.
  Me voilà dévoilé, mais le Maire magnanime
  Dans la presse locale, m'a laissé anonyme.

Tu vois qu'il fallait pas t'énerver, il voulait juste savoir qui c'était le grand méchant loup. Les petits chaperons rouges qui ne font que mener le petit pot de beurre à leur mère-grand ont toujours eu ce souci. Et comment qu'il est le grand méchant loup, est-ce qu'il a de longues dents, est-ce qu'il a de gros yeux, et surtout, est-ce qu'il est vraiment méchant???

Tous les enfants tapent dans leurs mains et avertissent le petit chaperon rouge. Oooooouuuuuhhh, le loup!!!
Et là, le loup se cache dans les replis du petit théâtre de marionnettes. Et, à chaque fois qu'il sort un bout de langue sur le côté, les petits enfants crient encore plus fort: OOOOOOOUUUUUUUUUUUUUHHHHHHHHHHH !!!

Tu sais, on a tous eu envie de sauver le petit chaperon rouge, on a tous été des enfants, et on a tous eu peur du loup. A ce moment là, Charles Perrot intervient:
- Oh, là les manants, faut pas tout trafiquer, il ya les contes et les comptes. Pour ce qui est de trafiquer les contes, vous tenez votre homme, pour les autres, il va falloir trouver un autre benêt!

Et c'est là, mais oui, les petits amis (le loup tire encore sa langue et les enfants font OOOOUUUHHH!) qu'intervient Guignol. Mais c'est bien sûr, dans le théâtre de marionnettes, Guignol n'est jamais loin!

- Et toi le Guignolet, à force de me saouler
  Peux-tu envisager de me sortir de la crise
  Car à force et enfin, si tout ce vin me grise
  Ici j'ai bien envie, de tout carambouler...

Caramboule mon ami, laisse-toi aller à tes envies. Désormais sur ta sellette, tu as l'air de quoi. D'un loup aux dents élimées, je ne peux le croire. Quand Guignol rigole des Pandores, les enfants ausi se gaussent. C'est la loi du genre. Dans toute société, il y a les bons et les méchants, et tu remarqueras que les enfants, eux, ont cette audacieuse idée de moquer les méchants, de leur taper sur les doigts, et rappelle-toi le Guignol de tes jeunes années, il prenait malin plaisir à se saisir de son gourdin pour tapoter le cuir des autres gourgandins. Il n'est pas besoin de faire de grands discours, c'est ainsi qu'est la vie entre les forts et les faibles.

Les faibles n'ont que la fable, quand les forts se perdent les pieds dans leurs torts.

Na!



14 février 2009

Y a pas de fumée sans feu!

Parcourant la presse locale d'un œil distrait, j'y découvre mon Bobby, affiché comme une poule de luxe dans les pages d'un hebdo à grand tirage. Que lui vaut cet honneur? Aurait-il tenté d'assassiner quelqu'un, quelqu'une, quelque chose? Rien, une fredaine, juste un truc pour encombrer les tribunaux ou pour deviner qui se cachait derrière cette andouille un peu trop fumée?

Ah ben oui, mon Bobby, je t'avais bien dit de ne pas te mêler de ce qui ne te regarde pas. Pan sur les doigts!
En guise de travail d'intérêt général, je vais te demander de copier mille fois la citation qui suit:

" L
'ironie ne déssèche pas, elle lutte contre les mauvaises herbes
."

Pschitt sans gaz!

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